L’éditeur

Les différentes étapes du travail dans une maison d’édition.

Nous utilisons l’imitation pour définir nos attitudes, nos réactions, notre caractère, notre comportement, mais aussi pour apprendre et progresser.

À l’occasion de la parution de sa nouvelle Courir après l’amour, Kenneth Wayd répond à quelques questions.

On apprécie à nouveau des corps qui assument leur virilité, sans aucun complexe, mais pas sans certaines limites. C’est ce que nous verrons durant cet article de blog, nous intéressant à différentes parties du corps.

À l’occasion de la sortie du roman Ma vraie nature, nous avons voulu en savoir plus grâce à son auteur : Andrew Carlson.

Aimez-vous, pardonnez-vous, avancez !

Le lancement de la maison d’édition, les deux premiers ouvrages, les perspectives pour 2024 et tout ce que nous vous souhaitons pour l’année à venir…

Le célibat n’est pas un échec ni une fatalité. C’est une période de préparation. Parfois c’est long, mais au bout du chemin vous attend celui qui est fait pour vous…

Nos auteurs évoquent très souvent, dans leurs romans, la salle de sport. Ce décor est pratique, parce qu’une salle est le monde en miniature.

À l’occasion de la sortie du roman Dany, nous avons voulu en savoir plus avec son auteur : Sébastien Chevrey.

À l’occasion de la sortie du roman Amitié améliorée, nous avons voulu en savoir plus sur son auteur : Andrew Carlson.

Les lecteurs ne se rendent souvent pas compte de l’importance de laisser un commentaire quand ils ont apprécié une lecture. Pourtant, on se fie souvent à ces derniers avant de se décider à acheter un livre ou non. On regarde ce que les autres en disent, car le résumé ne suffit pas. Il y a beaucoup de choix et nous ne pouvons pas tout lire. Alors, si d’autres s’enthousiasment pour un livre, il s’agit d’un plus indéniable. Rien que pour savoir si cela correspond à ce qu’on aime comme genre de littérature.

L’histoire d’une amitié entre deux hommes. Une amitié qui remonte à leur plus jeune âge. Par la force des circonstances, Olivier et Franck, devenus adultes, vont être obligés de vivre ensemble, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Ils pensaient tout connaître l’un de l’autre, mais en réalité il va y avoir beaucoup de révélations. Tout cela pour qu’ils comprennent ce qu’ils éprouvent réellement l’un pour l’autre.

Nous avons vu les différents atouts qui font que, bien que l’autoédition soit désormais chose courante, beaucoup d’auteurs envoient leur manuscrit à une maison d’édition dans l’espoir de se faire publier par l’une d’entre elles. Un travail sur le texte, des corrections professionnelles, un graphiste pour la couverture… Toutes ces tâches qui sont de la responsabilité de la ME prennent du temps, demandent du professionnalisme et bien sûr, ont un coût important qu’il est difficile de supporter en s’autoéditant.

Que ce soit en passant par une maison d’édition ou par l’autoédition, des étapes sont indispensables avant la publication d’un livre. Malheureusement, les auteurs indépendants ne peuvent pas toujours assumer les coûts engendrés. Mais ces étapes restent essentielles pour que les lectrices et les lecteurs soient satisfaits, aient envie de partager leur lecture et veuillent d’autres romans de l’auteur.

Après les corrections, le travail le plus important de l’éditeur est de rédiger le texte de la quatrième de couverture. Vous savez, cette accroche qui va donner envie aux lecteurs d’acheter le livre et de s’y plonger. L’éditeur sérieux se charge lui-même de cette rédaction. Pourquoi ? Souvenez-vous de vos années d’école. Il y avait des cours entiers consacrés à la rédaction d’un résumé à partir d’un texte, ce n’est de loin pas évident. C’est encore plus difficile quand on est l’auteur du texte ! 

Beaucoup de personnes ont envie d’écrire, sentent qu’elles ont un livre en elles et qu’il doit être couché sur le papier, même si c’est plus souvent sur le clavier. Mais beaucoup aussi ne se sentent pas légitimes pour écrire. Nous avons l’image de ces grands auteurs, ceux qui vendent des centaines de milliers d’exemplaires, et cela peut être angoissant. L’auteur en devenir peut se dire qu’il ne fera jamais aussi bien, qu’il n’en a pas les capacités ni le talent. C’est un peu ce que tous ces grands auteurs se sont dit avant de connaître le succès !

Aujourd’hui, chacun a la possibilité d’autopublier son livre. Il existe plusieurs moyens, très simples, pour diffuser ses écrits en faisant tout soi-même. Pourtant, il y a énormément d’auteurs qui tentent leur chance auprès de maisons d’édition. Alors, si s’autopublier est si simple, pourquoi vouloir faire appel à une maison d’édition ?

Pourquoi se met-on à écrire ? À la source, il y a l’inspiration. Une idée nous vient en tête et ne nous quitte plus. Cette idée peut être très précise dès le départ, ou il peut ne s’agir que d’un thème principal que l’on a envie d’explorer. L’inspiration est une chose qui ne se commande pas. Elle arrive par hasard et ne quitte plus de l’auteur jusqu’à ce qu’il couche l’histoire sur le papier. On peut bien évidemment aussi vouloir à tout prix écrire quelque chose sans inspiration. Mais l’écriture forcée ne donne jamais rien de bon.

Au début, nous avions un logo « fait maison », puisque désormais avec des outils en ligne chacun peut se prendre pour un graphiste. Bien sûr, rien ne remplacera jamais un professionnel, même pas l’intelligence artificielle. Parce que le travail du graphiste n’est pas juste de réaliser un beau dessin, au départ il y a l’idée, l’imagination. Ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir la vision de ce que devra être un logo ou une couverture. Le graphiste connaît les codes, de ce qui fonctionnera, de ce qui donnera envie, de ce qui se fait aujourd’hui !

On peut effectivement s’interroger sur la pertinence de fonder une énième maison d’édition alors qu’il en existe déjà tellement. Dans le domaine de la romance et des histoires d’amour entre hommes, il y a bon nombre de maisons d’édition spécialisées. Le contexte ne semble pas favorable, puisque plusieurs études montrent qu’il y a plus de gens qui écrivent que des gens qui lisent. Eh bien nous, nous refusons ce pessimisme.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *