À l’occasion de la parution de sa nouvelle Courir après l’amour,

Kenneth Wayd répond à quelques questions.

 

Bonjour Kenneth, commençons par les présentations.

Bonjour. Eh bien, je fais partie des fondateurs d’Antinoüs éditions. Parce que je suis pote avec Andrew et Sébastien, mais aussi parce que j’écris et que je voulais une structure d’édition pour pouvoir diffuser mes histoires. J’ai déjà réalisé une tentative sur Wattpad, avec un seul petit texte. Mais comme le français n’est pas ma langue maternelle, j’ai besoin de beaucoup de relectures et de solides corrections, ce qu’on ne trouve que dans une maison d’édition.

Pourquoi commencer par une nouvelle ?

C’est un format que j’apprécie particulièrement. Et puis, Antinoüs éditions voulait un texte court spécial Saint-Valentin, je me suis ainsi proposé et lancé dans l’aventure. La nouvelle est un genre particulier, il faut faire court pour écrire pas mal de choses, développer une histoire en seulement quelques pages. J’avoue également que c’était plus rassurant, le fait de ne pas me lancer tout de suite dans la rédaction d’un roman entier.

Parce que c’est ce que tu voudrais ?

Je pense que je vais d’abord rester dans les récits courts, il y a déjà un projet pour cet été. Si les lecteurs apprécient mes histoires, les personnages que je leur propose, eh bien peut-être qu’un jour j’aurai le courage d’écrire tout un roman.

Courir après l’amour se base sur une expérience vécue ?

Plutôt sur une que j’aurais aimé vivre. Je vais effectivement courir, chaque matin, très tôt, au bord de la plage. Sur le parcours, je croise quelques beaux gosses. Dont certains que j’aimerais vraiment connaître mieux. C’est de là que vient l’idée de se faire rencontrer deux joggeurs, pour voir ce que cela pourrait donner.

Et il y a une version en anglais ?

Eh oui, c’est avec moi que nous inaugurons la double publication, en français et en américain. Pour toucher un public plus large, pour donner toutes leurs chances à nos histoires. C’est un long travail, mais vraiment passionnant. Relire simultanément les deux versions permet de les rectifier mutuellement. Des choses sont plus simples et directes en anglais, quand les tournures françaises sont plus subtiles.

Tu espères devenir écrivain à plein temps ?

Comme tous ceux qui écrivent. Mais tout dépend de la réaction des lecteurs.

 

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